Le verbe chauffé à blanc par l'accent du soleil arpente un peuple d’ombres et de lueurs portées par une guitare flamboyante. Le temps se distord, et on se laisse aller à la rêverie, à la détermination, à l’amour, à l’étrangeté. On s’éveille au cœur de paysages sensoriels à ras de peau. Samuel Covel est magnétique, libre, authentique, il nous invite à notre propre sauvagerie, notre nature, notre imaginaire, et nous rappelle qu'il est urgent de vivre. Une porte entrouverte vers le banquet de la métamorphose.