RDV culturels

Fête du court métrage

"Pour sa deuxième édition, La Fête du court métrage fera découvrir dans toute la France la grande créativité qui règne dans le court métrage, lieu unique de renouvellement des écritures, espace de tous les possibles où se découvrent et s’exercent les nouveaux talents et dans lequel la liberté des créateurs s’exprime de manière éclatante." Frédérique Bredin - Présidente du CNC

Cirque des mirages, spectacle

Le Cirque des Mirages est un cabaret-théâtre fantasmagorique à l’univers trouble et troublant. Il renoue avec la tradition du cabaret expressionniste : celle des cafés bohêmes de la fin du XIXe siècle, et celle de l’expressionnisme allemand des années 1920. Mais le Cirque des Mirages n’est pas, en 2018, un quelconque clin d’œil nostalgique à ces spectacles d’autrefois : c’est la réponse violente, absolument actuelle, tissée de beauté, de poésie et de fantastique, à la bonne conscience de l’époque contemporaine.

Egoutte-moi, Cie La Lloba

Depuis 2008, La Lloba inscrit la danse dans un lien au lieu, dans un lien à l'autre : dans l'in situ. Dans cette proposition en improvisation, on laisse le corps dire et être dit, se mouvoir et être mu, en accueillant l’énergie du moment, dans une présence totale à soi, à l’autre ; voix et mouvements surgissent, émergent sans intention, dans une écriture de l’instant. Souffles, sons, danses, mots, chants… Ce seraient deux êtres. Ce seraient deux corps, susurrant, murmurant, gutturant, meuglant, parlant...

Tremplin musical #8, concerts

Les Comploteurs festifs ouvrent leur scène à une sélection de groupes dont le vainqueur, choisi à l’issue d’un vote du jury et du public, se produira en ouverture du Complot sur le Campus #13, sur les traces des gagnants précédents : MP1.2, Arcane, Ievoli Sun, Soul Papaz, Blow The Man Down, Beige Cube et Titty Twister BB – excusez du peu !

Pour participer, contactez les Comploteurs festifs avant le 22 février.

Concert de GLIZ

Avec ses instruments d’avant l’électricité, le trio Gliz compose une formation inédite qui envoie une pop fraîche mêlée à la crasse et l’énergie du rock. Débauchez le tuba d’une fanfare, arrachez des motifs rock à une batterie groove, shootez dans le banjo de papy, électrifiez cet instrumentarium vintage décalé... un nouveau son est là : organique, roots et moderne, sensible et brutal.

Concert de Alchimix

Le secret de ce trio repose dans une fusion alchimique dont l’alambic est le vaste monde. Le guembri, instrument de musique à cordes pincées des Gnawa maghrébins, apporte ses fréquences basses, que Selim Sami accompagne de son chant. Le handpan de Théo Poizat, instrument de percussion aussi connu sous le nom de hang, composé de deux coupelles métalliques embouties, déploie ses envolées mélodiques et percussives, auxquelles s’ajoute parfois le son inimitable d’une guimbarde. Enfin, le human beat-box de Mic Lee amène présence corporelle et rythmes explosifs.

L'intelligence des arbres, documentaire

En Allemagne, un forestier, Peter Wohlleben, a observé que les arbres de sa région communiquent les uns avec les autres en s'occupant avec amour de leur progéniture, de leurs anciens et des arbres voisins quand ils sont malades. Il a écrit le bestseller La Vie Secrète des Arbres (vendu à plus d'un million d'exemplaires) qui a émerveillé les amoureux de la nature. Ses affirmations ont été confirmées par des scientifiques à l'Université du British Columbia au Canada.

De la morue, conférence de la Cie Vertical Détour

Après la conférence scientifico-loufoque accueillie en 2017, dans laquelle il se lançait « à la recherche des canards perdus », l’artiste géographe Frédéric Ferrer poursuit son entreprise de cartographie de l’anthropocène.

L’anthropocène désigne cette nouvelle ère géologique que connaît la Terre depuis la révolution industrielle, caractérisée par le fait que l’humanité est devenue le principal agent d’évolution de notre planète.

Conférences de poche, Cie Nokill

Ce cycle de quatre conférences de poche nous transporte dans l’univers de Léon Lenclos, où l’irréel devient banal, où le quotidien semble extraordinaire. De quoi va-t-il parler ? Dès les premières phrases, on est saisi : bon sang ! Il me parle de moi. À grandes enjambées, un pas dans la science, l’autre dans la poésie, il nous apprend ce que l’on pressentait sans pouvoir mettre de mots dessus. Notre peur du vide, des trous, de l’inconnu… et nos fantasmes, rire de tout, ouvrir la fenêtre et s’envoler comme un oiseau.